Une fois le scénario rédigé commence la phase de développement, au cours de laquelle le producteur va le proposer aux metteurs en scènes, acteurs et techniciens, afin de constituer une équipe cohérente.
Puis il contacte les financeurs et les grands décideurs comme le Centre National du Cinéma (CNC) et les sociétés d’investissement de fonds privés consacrés au financement. (SOFICA)
Ces leviers essentiels sont activés en fonction des perspectives financières envisageable sur chaque projet.
Or, un film à grand spectacle, tels que ceux que nous avons décidé de produire, coûte des dizaines, et parfois des centaines de millions d’Euros.
Votre soutien à cette phase essentielle de la production est donc indispensable, car la crédibilité du film à l’international y gagnera.
C’est pourquoi nous avons fait appel à des plateformes de financement participatifs.
Elles vous permettront d’apporter votre soutien financier et même, si vous le souhaitez, de devenir coproducteur.
Et par conséquent de rentabiliser votre investissement.
Faites connaissance avec le projet en cliquant sur l’affiche
La première partie du film nous entraine dans les coulisses de la « drôle de guerre » au cours de laquelle le duc de Windsor fournit à Hitler les plans de défense français, tandis que les généraux démocrates allemands informaient les SR alliés de tous les détails du plan d’attaque allemand dès février 1940.Nous comprenons que tout le monde savait tout des intentions de tout le monde, bien avant la bataille.
La seconde nous amène au cœur de la trahison militaire, notamment lorsque le 13 mai 1940, des chars et des fantassins français des sections spéciales cagoulardes attaquèrent à revers les positions d’artillerie et les blockhaus français afin de permettre à une cinquantaine de fantassins allemands de traverser la Meuse, puis aux pontonniers de construire les ponts sur lesquels les premiers Panzer du général Guderian pourront enfin traverser le fleuve, le lendemain 14 mai à 7h20.
La troisième partie nous permet de comprendre que le général Gamelin, commandant en chef des armées alliées avait tout compris des trahisons dont il avait été victimes, puis ouvre la porte sur celles qu’il lui restera encore à subir jusqu’au 19 mai, date de son limogeage.
Entre le 14 et le 19 mai 1940, le général Gamelin tenta de contrer une véritable avalanche de trahisons allant de la non-transmission de ses ordres aux généraux républicains, en passant par les faux renseignements sur la situation réelle qui lui furent transmis, jusqu’au sabotage des contre-attaques orchestré à la fois par le général Georges, commandant en chef sur le front du Nord-est, et par les généraux putschistes sur le terrain.
Un coup d’État en règle que tentèrent également de contrer le président Paul Reynaud et le ministre de la guerre Edouard Daladier, mais sans succès.
Suite à quoi le maréchal Pétain et le général Weygand, tous deux anti-républicains notoires et chefs occultes de la Cagoule militaire, s’emparaient du pouvoir pour mener à bien les derniers détails de la trahison, avant de signer avec leur ami Hitler l’armistice tant attendu, concrétisant enfin ce retournement d’alliance espéré par tous les partisans d’une Grande Europe fasciste.
Deux frères, deux alsaciens, séparés par la guerre sur les plages de Dunkerque en Juin 40.
Guillaume parvient s’embarquer et à rejoindre le général Leclerc à Alger. Il y poursuivra le combat contre les Forces françaises de Vichy et leurs alliés allemands.
Dans le même temps son jeune frère Armand, blessé, est fait prisonnier. Puis il se retrouve enrôlé de force dans l’armée allemande. Quelques mois plus tard, il s’évade en direction des lignes russes dans l’espoir d’être renvoyé en Afrique et de s’engager auprès des Forces Françaises Libres.
Une odyssée à suivre à la fois dans les grands espaces d’Afrique du nord et de Russie.
Une histoire d’amour entre une jeune Russe et un industriel allemand engagé dans le réarmement secret de l’Allemagne entre 1922 et 1941.
Varanika parviendra-t-elle à convaincre Thomas de s’engager avec elle contre toutes les guerres, et notamment contre celle que le grand capital international prépare contre son pays ?
Le film nous parle des réseaux financiers américains et britanniques qui financèrent le réarmement secret du Reich dès 1922, puis mirent Hitler au pouvoir afin d’abattre le régime communiste en Russie.
Leur but : Rouvrir le pays à la « libre entreprise », c’est-à-dire à l’exploitation par les multinationales de ses richesses naturelles.
Une fresque romantique avec pour décors St Petersburg et les cabarets interlopes de Munich, sur fond d’enquête politico-financière.
Lorsque Paul, escroc international, est emprisonné aux Etats-Unis, sa femme Carole le quitte, s’empare de son magot et disparait avec leur fils âgé de 7 ans.
A son retour en France, Paul retrouve Carole qui s’est remarié et se vengera à sa manière.
Une histoire d’arnaque où le spectateur se retrouve première victime des apparences.
Une intrigue inédite développée autour d’un scénario original où les personnages surprennent et évoluent sans cesse, mais dont il serait dommage de vous révéler le mécanisme si tôt…
Sigui Carillat, célèbre professeur de philosophie, a invité son père à dîner pour célébrer l’anniversaire de celui-ci. A cette occasion, il veut lui présenter sa nouvelle fiancée : Chimène ;
Une heure avant l’arrivée de ses convives, Georges, un énorme camionneur, sonne à sa porte, et après quelques explications confuses, lui avoue qu’il est la réincarnation de sa mère, Mathilde, chanteuse d’opéra, décédée peu après sa naissance !
Elle le hante, faisant de sa vie un cauchemar, et l’a poussé à retrouver son fils
Sigui, le prend pour un fou et décide de faire une farce à son père ; il l’invite à diner. Mais sans croire une seconde à son histoire ;
La situation se complique lorsque Mathilde prend le pouvoir sur Georges, puis que son père la reconnait et retombe amoureux, tandis que Chimène lui apprend qu’elle est enceinte, et prend le parti de sa « pauvre maman » …
Des milliers de Malgré-nous alsaciens et mosellans auraient dû quitter les Goulags d’URSS en 1944. Seuls 1 500 partirent rejoindre les forces françaises libres à Alger. Pourquoi ?
Une série d’interview d’anciens incorporés de force et une enquête qui dérange …
En 1965, Pierre Accoce, journaliste d’investigation, grand reporter de guerre, historiographe, guidé par quelques membres des Services de Renseignements français et sous leur haute protection, entamait une enquête en Suisse à la recherche de la plus secrète et efficace organisation d’espionnage et d’information de la Seconde Guerre mondiale : Le réseau Viking qui fournit aux Alliés tous les détails du plan d’invasion allemand dès le mois de février 1940 !
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